Pourquoi écouter les signaux faibles ?
Les grandes décisions sont rarement “évidentes”. Entre arguments qui s’annulent, enjeux relationnels et calendrier, on sature vite. Les signaux faibles sont ces informations discrètes — corporelles, émotionnelles, contextuelles — qui, mises bout à bout, révèlent une direction nette. Les écouter n’est pas “être irrationnel” : c’est réintégrer des données que l’analyse pure ne capte pas (tempo, qualité d’énergie, cohérence avec vos priorités, impact humain).
Objectif : passer d’une décision “contre la friction” à une décision “avec l’élan”.
